lundi 13 février 2012

La Fabrique de la paroisse et les marguilliers.

N°186 (Voir les n°:1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à185)
 Voici une toute petite partie du cadastre de 1809 d'Almenèches (provenant des Archives de l'Orne)montrant que pour aller de la Place aux routes de Nonant et du Pin, il fallait passer par la rue au Comte; le passage près de l'église n'était pas ouvert. Cliquer pour agrandir le plan.
D'après WIKIPEDIA, l'encyclopédie libre, La fabrique, au sein d'une communauté paroissiale catholique, désigne un ensemble de "décideurs" (clercs et laïcs) nommés pour assurer la responsabilité de la collecte et l'administration des fonds et revenus nécessaires à la construction puis l'entretien des édifices religieux et du mobilier de la paroisse: église(s), chapelle(s), calvaire(s), argenterie, luminaire(s), ornement(s), etc...
Les membres du "conseil de fabrique" sont donc des administrateurs désignés plus spécifiquement par les termes de marguilliers et de fabriciens.
Les revenus de la fabrique provenaient, c'est ce qui est le plus connu, des quêtes et offrandes. Mais pas seulement: la location des places de bancs dans l'église, par exemple, était aussi un revenu régulier (bien souvent perçu annuellement à date fixe) pour la fabrique.
Pendant de longs siècles, l'administration des biens ecclésiastiques est resté entièrement aux mains du clergé, sous le contrôle de l'évêque. A partir du XIIIe siècle, l'usage s'est introduit d'associer des laïcs. Aux XVIe siècle, le Trente a proclamé le caractère "ecclésiastique" des fabriques. La Révolution les supprima, et après de violents remous ,Napoléon les restaura progressivement. Les fabriques deviennent alors des établissements publics du culte, et ce jusqu'en 1905. Le conseil de fabrique comprend alors le curé, le maire et cinq à neuf membres élus. Les fabriques sont à nouveau supprimées par la loi de séparation des Eglises et de l'Etat en 1905. Les revenus et biens des paroisses sont désormais administrés par des associations culturelles, sauf dans les trois départements de la Moselle, du Bas-Rhin et du Haut-Rhin où les fabriques subsistent comme établissements publics.
Pour être marguillier ou fabricien, il fallait être un notable catholique domicilié dans la commune. La majorité de 21 ans était requise. Pas d'étranger. Aucun texte légal ne s'oppose à ce qu'un homme qui ne sait ni lire, ni écrire, fasse partie d'un conseil de fabrique. S'il n'arrive pas à apprendre à signer, "la croix traditionnelle attestera sa présence".
Le conseil élit au scrutin secret un président, un secrétaire et un trésorier qui ne peuvent être pris parmi les membres de droit (curé et maire). 
Ainsi le mot FABRIQUE n'a rien à voir avec USINE, ATELIER,.... Pourtant, j'ai trouvé un texte de l'abbé Yvon Marcoux, très explicite, de l'origine de ce mot "fabrique":
Le mot "fabrique" (emprunté au latin: "fabrica", qui veut dire oeuvre, l'atelier de l'ouvrier et / ou de l'artiste, des artistes, "fabri officina", "fabricare", qui veut dire "construire") a d'abord signifié le travail de construction d'un édifice. La compréhension du mot fabrica ou fabrique a varié selon les époques. Le sens obvie, c'est-à-dire le plus courant de ce mot est celui de "construction". Dès l'époque de Thédose, le Code Théodosien utilisait ce terme dans le sens de construction entreprise dans l'intérêt public et qui fut appliqué ainsi à l'édification d'une église-bâtiment. C'est ainsi que le mot fabrique, dès le temps du pape Gélase (492.496) désigne la masse des biens affectés à la construction des églises de son époque. Au temps de Grégoire 1er (590.604), ce mot sera, désignera également la masse des biens affectés à leur entretien.
Pour le Concile de Trente (1535), la fabrique est non seulement l'ensemble des biens d'une église, mais également l'organisme qui la représente et qui doit pourvoir à l'exercice du culte. C'est dans ce sens que le pape Benoît XIII emploiera ultérieurement ce mot au sens large, et il en fait même le synonyme également de sacristie dans sa Constitution de 1725. Cette extension large de ce mot a été contesté plus d'une fois à l'occasion de legs attribués au bénéfice ou à la fabrique paroissiale, i.e. soit au culte, et/ou l'ensemble des biens de l'église. La Rote (tribunal romain) n'ayant pas établi de jurisprudence stricte en cas de litige, la S. Congrégation trancha en 1858 en assimilant l'église à la fabrique. Ainsi, en affirmant la caractère ecclésiastique des biens de fabrique, elle soumettait les fabriques au contrôle de l'autorité ecclésiastique autant dans sa gestion du culte que dans ses avoirs et patrimoine............................................ .
Ainsi nous savons ce que fut dans toutes les paroisses  la FABRIQUE.
Donc rien à voir avec les fabriques almenéchoises d'autrefois : sabots - gants - toiles - tuiles .   

samedi 11 février 2012

ALMENECHES... en 1882.

N° 185 (Voir les n°1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à184)

Voici un texte de 1882 trouvé sur "LA FRANCE ILLUSTREE" :
ALMENECHES- Almenêches (Almanescoe), station du chemin de fer de Paris à Granville, située dans le canton de Mortrée, à 12 kilomètres au sud-est d'Argentan, est une commune de 787 habitants, qui élève et fait un commerce assez important de ses chevaux renommés et dans laquelle il se fabrique des gants. Almenêches possédait autrefois un couvent de bénédictines qui avait été fondé par saint Evroult; il avait dans ses dépendances un pré que l'on nommait et l'on nomme encore le Pré Salé; et voici ce que raconte la légende à ce sujet: un des serviteurs du monastère s'était emparé de l'âne conventuel. Sainte-Opportune, qui alors était abbesse, le réclama. Le voleur, non seulement ne consentit pas à le rendre, mais il s'emporta encore en injures violentes contre sainte Opportune, et, dans son injuste colère, il s'écria que le pré où l'âne, l'abbesse, et lui se trouvaient serait couvert de sel avant qu'il consentit à le rendre. Quel fut son étonnement, le lendemain matin, de voir son imprécation réalisée. Honteux et confus, il alla trouver l'abbesse, confessa son larcin et, pour obtenir son pardon, abandonna au monastère le pré témoin de ce prodige.      Il paraîtrait que les bénédictines d'Almenêches ne suivaient pas la règle avec toute l'ardeur et le zèle désirable; elles furent longtemps renommées par la liberté de leur conduite. En vain Robert de Cornegrue, évêque de Sées, voulut-il, en 1455, par de nouveaux statuts, les tenir enfermées dans leur communauté; en vain Jacques de Silly, autre évêque de Sées, chercha-t-il à réformer leur conduite toujours relâchée; il fallut déposer l'abbesse et y établir la règle sévère de Fontevrault.     Cette abbaye exista jusqu'en 1736. L'église abbatiale sert aujourd'hui de paroisse à la commune; elle date de plusieurs époques et principalement de la Renaissance; elle offre une ornementation assez remarquable.
Dans les environs d'Almenêches, il y a un beau tumulus, les ruines du château des Pantouillères, et les manoirs du Plessis et de la Motte. 
Voilà notre Almenêches dépourvue maintenant de sa gare, détruite il y a peu... La population est aussi un peu moindre...

vendredi 10 février 2012

L'abbé GODECHAL, curé d'Almenèches

N°184 (Voir les n°1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à183)
 Eglise d'ALMENECHES actuellement en travaux....
Nous avons lu dans " Les Martyrs de la Révolution dans le diocèse de Séez", écrit en 1876 par l'abbé Blin, la longue histoire de l'abbé Godechal, curé d'Almenèches ..
M. Laurent Charles-François Godéchal, d'Argentan, fut nommé curé d'Almenèches, en 1784. La persécution le trouva inébranlable dans sa fidélité religieuse; mais elle l'obligea à sortir de France, au mois de septembre 1792. Il se retira d'abord en Angleterre, puis en Belgique. Peu de temps après, les armées françaises, ayant envahi cette province, le forcèrent de se réfugier en Westphalie avec M. l'abbé Gélée, son compatriote, et ancien curé de Préaux.
Vers la mi-octobre 1795, M. Godéchal et M. Gélée rentrèrent en Belgique. "Ils sortaient", dit M. l'abbé Marre, "en plein" jour dans les rues d'Anvers, et marchaient la tête levée, sans que les officiers et les soldats français les menaçassent même d'un seul regard. Leur cause leur paraissait, sinon gagnée, au moins en bon train. Un placard, émané de l'autorité militaire, le 20 ou le 21 décembre 1795, d'avoir à sortir de la Belgique, dans les 24 heures, sous la peine capitale. Averti de cette sévère injonction, M. l'abbé Marre alla demander à MM. Godéchal et Gélée s'ils voulaient se mettre en route pour la Westphalie, qui leur était ouverte de nouveau. Bah! lui dirent-ils, ce n'est qu'une bourouflée; en ne paraissant pas enpublic, on ne s'occupera pas de nous. Cet ordre ne peut venir que d'un brouillon subalterne, et sera peut-être rappelé sous quelques jours".
"Confiants dans leurs conjectures, ils le laissèrent partir seul. Ils furent arrêtés trois jours après et conduits dans la prison de Bruxelles".
Voici en quels termes M. Godéchal lui-même racontait ses malheurs à M. l'abbé Marre quelques mois après. " Dans la nuit de Noël, en attendant l'heure de la messe, M. Gélée et moi nous fîmes une partie de piquet. Au moment où je disais à mon confrère: "ne es capot" nous le fûmes lui et moi. Des soldats entrent, ils nous disent insolemment que nous aurions une belle fête, ils nous lient et nous emmènent en prison en disant que nous n'aurions besoin de rien".
Nous passâmes en prières le reste de la nuit. Des soldats vinrent à notre prison dès le matin: ce n'étaient pas les mêmes. Ils nous lièrent les mains et nous disent que nous serions débarbouillés à Bruxelles. Pourquoi pas à Anvers ? Probablement parce que quelque adroit honnête homme cherchait à nous sauver. Sur la route, un de nos conducteurs parut sensible à notre malheur: il nous donna un petit verre d'eau-de-vie".
A Bruxelles, jetés dans des cachots infects, confondus avec les plus infâmes scélérats, on nous fit pressentir que nous étions en réserve pour la guillotine. Quand nous entendions le bruissement des verrous, nous pensions que notre dernière heure avait sonné. Etions-nous soutenus par une main inconnue ou par notre bon ange? Il fut statué que nous serions jugés à Paris. A Paris, il fut statué que nous serions jugés à Alençon, chef-lieu de notre département".
A Alençon, MM. Savary, frères,avocats, nous défendirent avec chaleur et éloquence. Leurs plaidoyers, bien nourris, appuyés sur la logique et le bon sens, ne paraissaient pas faire fléchir les juges, qui au reste acceptèrent de bon coeur ce syllogisme: "Une loi n'oblige qu'autant qu'elle peut être connue. Or la loi, qui enjoignait sous peine capitale à nos clients de vider de leurs personnes la ville d'Anvers dans un délai donné, n'a pu être connue d'eux, attendu qu'elle n'a été publiée qu'en langue flamande, qu'ils ne savent pas. Donc elle ne peut pas leur être applicable".
Conséquence bien déduite! Appointés à prouver la mineure, les défenseurs la prouvèrent en due forme, et la forme emporta le fond. L'autorité anversane certifia à ses risques et périls, aux dépens de la vérité, que l'argument de MM. les défenseurs était fondé en tout point. Les accusés s'entendirent condamner, l'un à la déportation, l'autre à la réclusion à cause de ses infirmités".
On trouve sur le registre du tribunal criminel du département de l'Orne le jugement porté contre M. Godéchal; il est ainsi conçu:
Vu par le tribunal criminel: la procédure instruite contre Laurent-Charles-François Godéchal, ex-curé de la commune d'Almenèches, âgé de 38 ans, originaire de la commune d'Argentan, volontairement déporté en vertu de la loi du 26 août 1792, et arrêté en la commune d'Anvers le 4 nivôse dernier.
Considérant que, quand on considérerait comme déporté rentré ledit Godéchal, qui s'était déporté dans la Belgique avant sa réunion à la république française, et qui a été trouvé dans cette ci-devant province de l'Empire d'Allemagne, la loi du 3 brumaire ne pourrait l'atteindre: 1° parce qu'elle n'ordonne que l'exécution des lois de 1792 et 1793; 2° parce qu'elle n'avait pas été publiée dans la Belgique avant son arrestation, le tribunal ordonne que ledit Laurent-Charles-François Godéchal sera déporté dans le lieu qu'il voudra choisir, et qu'il sera tenu d'indiquer dans le délai de trois jours, et pour l'exécution du présent le commissaire du pouvoir exécutif donnera les ordres pour le faire conduire aux frontières de France, voisines du lieu de sa déportation".
Fait et arrêté, le 16e jour de prairial de l'an IVe de la république française".
Obligé de laisser son confrère malade à Alençon, M. Godéchal prit un passeport pour Munster, où se trouvaient en grand nombre les prêtres du diocèse de Séez à la suite de leur évêque. Il avait frisé la guillotine de bien près, ajoute M. l'abbé Marre, mais il devait courir de nouveaux dangers. Epuisé par les privations et les fatigues, par une longue captivité et les frayeurs d'une mort prochaine, il s'en va en Suisse pour y rétablir sa santé. Il part de Francfort entre deux armées en guerre, qui attendaient l'ordre de se battre. Le voilà en face de Strasbourg, et les boulets volent en sifflant par-dessus sa tête; il se couche à plat ventre et les laisse passer. Les batteries changent de place, il ne redoute plus les boulets. Il espère gagner la Suisse; un batelier le prend et le débarque... sur la route suisse? Non, mais de Strasbourg à Paris ! A Strasbourg, il se laisse déguiser; on l'équipe de faux papiers, il prend la route du Rhin, le passe et revient à Munster, où je le retrouve, et où il me fait cette romantique narration. Je dis romantique, parce que dans un demi-siècle, la fermentation révolutionnaire ne sera plus ni comprise, ni envisagée, ni même suivie dans cette chaîne de malheurs qui accabla tant de milliers d'innocents".
Après la révolution, M. Godéchal revint dans sa famille, mais l'épuisement de ses forces l'obligea de renoncer au gouvernement de son ancienne paroisse. Il se retira dans la ville d'Argentan pour y prendre un peu de repos. Aussitôt qu'il fut en état de travailler de nouveau à la vigne du Seigneur, il pria son évêque de l'employer dans une autre paroisse. Mgr de Boischollet le nomma d'abord desservant provisoire de la paroisse d'Occagnes, puis desservant de Sarceaux, près Argentan (1804). Il y travailla avec tant de zèle et d'édification au salut des âmes, qu'en 1805 Mgr de Boischollet déclarait sur le registre du personnel que cet ecclésiastique était "digne de toutes les places". Sa santé délicate et surtout sa grande humilité le retinrent à Sarceaux jusqu'à sa mort, qui arriva le 1er octobre 1816. Sa mémoire est restée en bénédiction dans les paroisses d'Almenèches et de Sarceaux.
Il serait très intéressant de connaître comment vivaient tous ces gens en exil et avec quels moyens !!! Prêtres réfractaires !!! Prêtres assermentés !!!
1789 : La révolution française : une page importante de l'histoire de la FRANCE. 

CHEMIN DE FER et accidents....

N°183 (Voir les n°:1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à182)
 Cliquez sur la carte pour l'agrandir.....
 Voilà une jolie carte postale envoyée en 1909 de notre gare d'Almenèches mais... que vous ne pourrez plus voir puisqu'elle fut détruite, il y a quelques années maintenant, par les voeux de la SNCF,et ce, malgré , d'après les ON-DITS, les propositions d'achat qu'elle reçut (ces propositions + la démolition représentèrent une petite somme: la France est riche !).
Mais passons à autre chose et tout aussi tragique: les accidents....
Dans "Le Petit Parisien" du 21 mai 1879, nous avons trouvé ce petit texte bien navrant:
Broyée par un train - Entre la station d'Argentan et celle d'Almenèches, se trouve un passage à niveau gardé par la femme Chaineau. Avant-hier, à dix heures et demie du matin, la malheureuse femme crut apercevoir sur la voie sa fille, âgée de six ans.
Un train de marchandises venait de Surdon; la mère, n'écoutant que son coeur, se précipita vers son enfant, mais elle fut renversée par la locomotive, et tout le train lui passa sur le corps .
La malheureuse, qui a les deux jambes coupées, a été transportée à l'hôpital d'Argentan. C'est une horrible catastrophe pour toute la famille, que cette pauvre femme faisait vivre.
Et cet autre, aussi terrible , lu dans "l'Ouest-Eclair" du 08.01.1934:
EN GARE D'ALMENECHES UN CONDUCTEUR A LA JAMBE BROYEE - Le 4 janvier, il a été procédé à une enquête à la suite d'un grave accident dont a été victime, en gare d'Almenèches, M. Thébault Alexandre, 50 ans conducteur du chemin de fer, domicilié à Cerisé, par Alençon.
M. Thébault assurait le service du train 4477 régulier marchandises Le Mans. Une manoeuvre fut effectuée: il s'agissait de faire tirer le train pour reprendre trois wagons et en laisser un.
On vit alors le conducteur Thébault faire quelques pas pour prendre le tendeur des trois wagons qui arrivaient vers lui. Malheureusement, à ce moment, il glissa et tomba sur le rail. Tournant alors sur lui-même, le conducteur réussit ainsi à dégager son corps, mais il ne put en faire autant de sa jambe droite qui fut broyée.
La victime reçut les premiers soins, puis on la transporta d'urgence à l'hôpital d'Argentan, où le docteur Coinauld dut pratiquer l'amputation de la jambe au-dessus du genou .
Malheureusement,combien ont été et sont encore nombreux ce genre de tragédie..... 

mercredi 8 février 2012

ALMENECHES et ... la fête... en 1937..

N°182 (Voir les N):1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à181)
Voilà un petit texte trouvé sur le journal "L'OUEST-ECLAIR" du 8 août 1937 donnant le programme de la fête communale... Nous remarquons en particulier qu'il y avait à Almenèches des courses d'ânes sur la place !!!

  Vous pouvez cliquer sur le texte pour l'agrandir....
Dans d'autres programmes sur la fête à Almenèches, et toujours dans le journal de OUEST-ECLAIR (26 août 1934 par exemple), nous voyons qu'aux Fontaines , sur la route de Fligny,  il y avait une course de chevaux....
Aux courses de Maisons-Laffitte, il y avait un prix d'Almenèches... Existe-t-il encore ?
Nous avons eu un cheval renommé pour les courses un certain ALMENECHES !!!! 

Des Normands fraudeurs d'alcool..... autrefois !!

N° 181 (Voir les N°:1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à180)
Voilà un fait révolu... qui parle de fraudeurs de "gnaule", de calvados, de "goutte ", à notre époque, c'est du passé.... Il est donc amusant de relire ce petit texte trouvé dans le journal "L'OUEST-ECLAIR" du 24 juillet 1929 et qui parle de notre petite commune d'Almenèches...
Je pensais que la région domfrontaise était la seule intéressée par ce genre d'affaire:
 Vous pouvez cliquer sur ce texte pour l'agrandir....
Ah !.... ces Normands !.........

Qui parle de froid ? Celui de 1879 ?

N°180 (Voir les n°:1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à179)
Toujours dans "Le petit Parisien" du 13.01.1879 , nous avons lu le texte ci-dessous qui avait pour titre EFFET DE NEIGE... Une grande partie intéressait la France...nous avons gardé notre petite région:
 Vous pouvez cliquer sur ce texte pour l'agrandir...


Un train arrêté entre Argentan et Almenèches... BRRRRRRRR.......

Petit ajout à l'affaire VAUTIER

N°179 (Voir les n°:1à6-11à16-31à33-72à74-98à117-123à132-146à165-170à178)
Voilà un petit ajout à mes chapitres n° 13 - 14 - 15 - 16 sur notre ancien notaire VAUTIER Albert condamné en 1889 à dix ans de travaux forcés.... C'est un petit texte trouvé sur "le Petit Parisien " du 29.08.1888:
Vous pouvez cliquer sur ce texte pour l'agrandir...

Ainsi , avant de passer devant la justice, notre ancien notaire VAUTIER-DESLANDES comme il se désignait alors, avait pris la fuite dès 1888 en Belgique... Lors du procès en octobre 1889, il ne semble pas que celui-ci parle de cette fuite...  Cela n'empêcha pas de donner une lourde sentence : dix ans de travaux forcés...